Qu’est ce que la légionellose?
La légionellose est une infection pulmonaire grave provoquée par la bactérie Legionella. Cette bactérie se développe dans les installations d’eau, notamment lorsque la température est comprise entre 25°C et 45°C. Le mode de contamination se fait par l’inhalation d’aérosols/microgouttelettes de l’eau. Cette maladie n’est pas contagieuse entre individus, ni en buvant l’eau contaminée.
Le risque de légionellose augmente avec l’âge, et pour les personnes fragiles (immunodéprimées, poumons fragilisés, …). 90 % des cas sont dus à Legionella pneumophila
Dans le cadre de la surveillance sanitaire, ou de manière ponctuel, nous assurons les prélèvements et analyses en vous garantissant qualité et rapidité :
- Prélèvements sur ECS (eau chaude sanitaire), eaux de circuits de refroidissement (tour aéroréfrigérante), eaux industrielles, eaux souterraines eaux de baignades, eaux de surface,…
- Recherche et dénombrement de Legionella selon la NF T 90-431 par filtration ou centrifugation
- Identification de Legionella pneumophila selon la NF T90-431 par test au latex
Résultats rendus à partir de 8 jours selon les exigences normatives en vigueur

Réglementation
Arrêté du 1er févier 2010 relatif à la surveillance des Légionelles dans les installations de production, de stockage et de distribution d’eau chaude sanitaire.
Circulaire DGS/98/771 du 31/12/1998 : Mise en œuvre des bonnes pratiques d’entretien des réseaux d’eau dans les établissements de santé et des établissements recevant du public – Moyen de prévention du risque lié aux Légionelles.
- Circulaire DGS/SD7A/SD5C-DHOS/E4 n°2002/243/2002 : Prévention du risque lié aux Légionelles dans les établissements de santé.
- Circulaire DGS/2005/493 du 28/10/2005 : Prévention du risque lié aux Légionelles dans les établissements sociaux et médicaux sociaux d’hébergement pour personnes âgées.
- Arrêtés du 13 décembre 2013 concernant les installations soumises à autorisation ou à déclaration sous la rubrique 2921 : Installation de refroidissement par dispersion d’eau dans un flux d’air.
Potabilité de l’eau
Nous assurons les prélèvements et les analyse dans le cadre de contrôle de routine de l’eau potable, selon le Code de la Santé Publique (articles R1321-1 à R1321-61). L’eau provenant des points de distribution doit répondre à des critères microbiologiques, chimiques, et organoleptiques définis par l’arrêté du 11 janvier 2007, modifié par l’arrêté du 21 janvier 2010 (programme des eaux destinées à la consommation humaine).
Des analyses complémentaires sont réalisées en cas de suspicion de présence de substances indésirables (métaux, nitrites, …)
Programme d’analyses de routine (D1)
Paramètres microbiologiques : microorganismes revivifiables à 22°C et 36°C, entérocoques, bactéries coliformes, Escherichia coli, spores de microorganismes anaérobies sulfito-réducteurs
Paramètres organoleptiques : aspect, couleur, saveur, odeur
Paramètres chimiques : température, pH , turbidité, conductivité, chlore libre, chlore total, nitrates, ammonium, fer total, aluminium.
Analyse complémentaires
Analyse D2 : HAP, trihalométhanes, épichlorhydrine, acrylamide, chlorure de vinyle, antimoine, cadmium, fer total, plomb, chrome, cuivre, nickel, chlorites, nitrites.
Autres métaux (zinc, mercure,…)
Programme d’analyses de routine (D1)
Paramètres microbiologiques : microorganismes revivifiables à 22°C et 36°C, entérocoques, bactéries coliformes, Escherichia coli, spores de microorganismes anaérobies sulfito-réducteurs
Paramètres organoleptiques : aspect, couleur, saveur, odeur
Paramètres chimiques : température, pH , turbidité, conductivité, chlore libre, chlore total, nitrates, ammonium, fer total, aluminium.
Analyse complémentaires
Analyse D2 : HAP, trihalométhanes, épichlorhydrine, acrylamide, chlorure de vinyle, antimoine, cadmium, fer total, plomb, chrome, cuivre, nickel, chlorites, nitrites.
Autres métaux (zinc, mercure,…)